Même si a musique se suffit à elle-même, un mot d’introduction ou une habile description des contextes politiques et esthétiques dans lesquels vivaient des compositeurs permettent d’entendre des œuvres d’une manière différente, parfois plus complète.
Je compose souvent mes programmes autour des thèmes ou des fils conducteurs - autour des voyages lointaines et des paysages de l’Orient, autour des sources d’inspiration, autour des affinités personnelles ou esthétiques.
Voici quelques exemples de mes programmes qui s’inscrivent dans le cadre du cycle que j’affectionne particulièrement : « La musique pour ceux qui n’osent pas », alias l’histoire insolite de la musique classique en 13 (!) tableaux :
(Bach, Bach/Busoni, Rameau, Couperin, Scarlatti, Chopin, Godowsky-Schubert)
(Boccherini, Mozart, Haydn, Beethoven)
(Dussek, Lessel, Steibelt, Ogiński, Chopin, Heller)
(Clementi, Kuhlau, Szeligowski, Satie, Magin, Bartók, Casella, Ireland, Tansman)
(Haydn, Beethoven, Schubert, Diabelli, Strauss)
(Chopin, Schumann, Mendelssohn, Liszt, Heller)
(Chopin, Schumann, Benda, Napravnik, Wolff, Honegger, Scriabine, Ohana)
(Chopin, Schumann, Liszt, Clara Wieck)
(Brahms, Schumann, Clara Wieck-Schumann)
(Debussy, Szymanowski, Tansman, Rimski-Korsakov, Khatchatourian)
(Chopin, Rachmaninov, Prokofiev, Scriabine, Shostakovich)
(Chopin, Debussy, Scriabine, Schönberg)
(Bach, Chopin, Brahms, Bartók, Gershwin et au-délà)
et
(Szymanowski, Lutoslawski, Tansman, Sikora, Szymonowicz, Bacewicz...)